L'auto jaune: parcours au travers d'une folie
Résumé
Schizophrénie paranoïde évolutive ! Rien que ça ! Dominique Scheder est à l'aube de sa carrière de chanteur quand tombe l'effrayant diagnostic. Tous les contrats sont annulés. La piste d'envol n'est plus qu'un chemin défoncé où brinquebale l'auto jaune...
Lu par :
Fabienne Boichat
Genre littéraire:
Biographie/témoignage
Mots-clés:
Schizophrénie
/
Biographie
Durée:
4h. 47min.
Édition:
Lausanne, Favre, 2005
Numéro du livre:
15524
Produit par:
Bibliothèque Sonore Romande
ISBN:
9782828908386
CDU:
616.898
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Lu par : Suzanne Bettens
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Genre littéraire : Biographie/témoignage
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Lu par : Marie-Claude de Crécy
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Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 34791
Résumé:"D'abord le passé..." Premiers mots adressés par le général de Gaulle à André Malraux. Première rencontre. Il est 11 heures du matin, le mercredi 18 juillet 1945, au ministère de la Guerre, rue Saint-Dominique, à Paris. Deux légendes se font face : le chef de la France libre et la figure mythique de l'écrivain engagé dans la lutte antifasciste de l'entre-deux-guerres. Sans s'embarrasser ni de circonlocutions ni de formules de politesse, le général de Gaulle s'attaque directement à l'essentiel : André Malraux et ses engagements passés. D'abord surpris ("Surprenante introduction"), celui-ci commence alors par expliquer la raison profonde de son engagement : "Je me suis engagé dans un combat pour, disons, la justice sociale. Peut-être, plus exactement : pour donner aux hommes leur chance." Puis, il enchaîne en expliquant ses combats dans les années 1930 contre le fascisme : "J'ai été président du Comité mondial antifasciste avec Romain Rolland, et je suis allé avec Gide porter à Hitler - qui ne nous a pas reçus - la protestation contre le procès de Dimitrov et des autres soi-disant incendiaires du Reichstag". Il poursuit en parlant de la guerre d'Espagne pendant laquelle il a combattu aux côtés du gouvernement républicain espagnol contre les militaires du général Franco, en prenant bien soin d'ailleurs de préciser qu'il ne s'est jamais compromis avec les communistes de Staline : "Puis il y a eu la guerre d'Espagne, et je suis allé me battre en Espagne. Pas dans les Brigades internationales, qui n'existaient pas encore, et auxquelles nous avons donné le temps d'exister : le parti communiste réfléchissait." Enfin, André Malraux termine par une profession de foi : "Puis il y a eu la guerre, la vraie. Enfin est arrivée la défaite, et comme beaucoup d'autres, j'ai épousé la France..." Le coup de foudre est réciproque entre les deux hommes. Débute alors une amitié indéfectible sur les hauteurs pendant plus de vingt-cinq années. Pourtant, cette première rencontre n'a pas été une évidence. Elle a même été tardive.